Au cœur de la Ville Lumière, l’impératrice Farah a fait une découverte incroyable dans sa collection d’art à Paris. Un trésor insoupçonné, une histoire enchanteresse à révéler… Plongez dans le mystère et laissez-vous emporter par ce que vous allez découvrir, une surprise hors du commun vous attend !
La collection d’une vie en exil #
L’impératrice Farah Pahlavi a illuminé les murs du Fiap Jean Monnet avec des œuvres précieuses, accumulées tout au long de son périple en exil. La chahbanou a patiemment collecté, reçu et chéri ces trésors artistiques qui racontent l’histoire de son exil et celle de son cher Iran.
À travers des peintures, des sculptures et des photographies, chaque pièce choisie par Farah Pahlavi nous transporte dans un univers d’ironie, de liberté et d’humour. Ce qui frappe le plus, c’est l’éclectisme de sa collection, qui va de célèbres maîtres contemporains à des artistes méconnus mais au talent indéniable.
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Un vent de liberté souffle à Paris #
Dans une atmosphère vaguement parfumée de nostalgie et de rêve, Farah Pahlavi a ouvert pour la première fois au public une partie de sa collection privée d’art. L’exposition, qui se tient jusqu’au 24 mai, est un hymne à la liberté au cœur de la capitale française.
Avec l’aide de l’artiste iranienne Vanecha Roudbaraki, l’impératrice a soigneusement sélectionné les pièces à exposer. Les visiteurs peuvent ainsi apprécier des œuvres évoquant les membres de la famille impériale, mais aussi des sujets plus vastes qui critiquent ou mettent en lumière le contexte mondial actuel.
La Fondation Shahbahnou Farah Pahlavi #
L’exposition n’est pas seulement une célébration des œuvres d’art; elle marque également les débuts publics de la Fondation Shahbahnou Farah Pahlavi. Créée pour honorer l’histoire et la culture iranienne, cette fondation aspire à inspirer le monde entier par le biais d’un engagement interculturel et inclusif.
La mission de la fondation est claire : « honorer l’histoire de l’Iran en permettant à sa société, sa culture et ses arts d’inspirer les gens du monde entier à créer des communautés inclusives et durables et un engagement interculturel ».
Des trésors cachés et des surprises #
Parmi les œuvres, certains trésors inattendus ont captivé les visiteurs et l’impératrice elle-même. Par exemple, la collection accueille une caricature du célèbre Chat de Philippe Geluck, subtile allusion aux restrictions des libertés dans certains pays. Ce subtil jeu de contraste et d’humour noir illumine encore plus l’esprit rebelle de l’exposition.
- Le célèbre portrait de l’impératrice, réalisé en 2010 par l’artiste libanais Hussein Madi.
- Une toile représentant son défunt mari, œuvre déclenchant autant les souvenirs que les interrogations.
- Plusieurs œuvres critiquent ou humorisent sur le contexte mondial actuel, apportant une réflexion profonde mais souvent légère.
Passant d’une œuvre à l’autre, l’impératrice Farah souhaite ardemment que son cher Iran retrouve un jour la liberté incarnée par chaque tableau, chaque photographie exposée. Paris, ville faste de la liberté, sert ici de toile de fond pour ce souhait plein d’espoir et d’amour pour la terre qui l’a vue naître.